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Benoit Libran

Comment se dépasser sans se couvrir de bave

Le dépassement de soi, c'est comme si on demandait à un escargot de courir un marathon. C'est difficile, c'est long, et il y a de fortes chances qu'on finisse épuisé et couvert de bave. Mais malgré tout, on continue d'essayer.

Pourquoi? Parce que le dépassement de soi, c'est comme un défi personnel. C'est comme dire à notre cerveau "hey, je sais que tu vas te plaindre, mais on va quand même essayer de faire ça". Et bien souvent, c'est lorsque l'on se dépasse que l'on réalise à quel point on est capable de faire des choses incroyables.

Mais comment faire pour se dépasser? Il n'y a pas de recette miracle. Certaines personnes aiment se mettre sous pression en s'inscrivant à des événements sportifs, d'autres préfèrent se fixer des défis plus personnels, comme apprendre une nouvelle langue ou monter un projet professionnel.

Et bien sûr, il y a toujours la méthode classique : "faire ce qui fait peur". C'est un peu comme sauter en parachute, sauf que c'est plus difficile à organiser (et moins risqué). Mais le principe reste le même : affronter ses peurs pour se dépasser.

Et même si on échoue, ce n'est pas grave. Comme disait le célèbre escargot Speedy Gonzales : "on n'a pas échoué tant qu'on n'a pas abandonné". Alors, on prend une grande inspiration, on se lance, et on essaie de ne pas se couvrir de bave sur la ligne d'arrivée.

En résumé, le dépassement de soi c'est comme un marathon pour escargot, c'est difficile, long et épuisant, mais c'est en se dépassant que l'on réalise à quel point on est capable de faire des choses incroyables.


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